Développement

Québec mise sur le développement des zones industrialo-portuaires en Montérégie

le jeudi 14 décembre 2017
Modifié à 0 h 00 min le 14 décembre 2017
ÉCONOMIE. Le ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation et la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS) ont tenu conjointement lundi une journée de promotion et d’information sur le potentiel de développement économique des zones industrialo-portuaires en Montérégie, à laquelle de nombreuses personnes de partout sur la Rive-Sud ont participé. L'événement était axé sur la présentation des plans de développement et de la complémentarité des trois zones industrialo-portuaire identifiées en Montérégie, soit Sorel-Tracy, Contrecoeur-Varennes et Salaberry-de-Valleyfield, ainsi que la présentation des aides gouvernementales pour soutenir les projets d’investissement. «Il y a 300 M$ disponibles dès maintenant pour attirer les entreprises qui désirent s’installer dans les zones industrialo-portuaires», a souligné le ministre délégué aux Affaires maritimes Jean D’Amour. «Le développement des zones industrialo-portuaires saura sans contredit stimuler encore plus la croissance économique de la grande Rive-Sud, par l’attraction d’investissements dans les infrastructures et dans de nouveaux secteurs d’activités; par la création d’emplois et par le soutien à l’innovation, a déclaré la présidente de la CCIRS, Catherine Brault. Nous sommes fiers de prendre part à l’amélioration et au maintien du positionnement concurrentiel du Québec sur la scène internationale.» La Stratégie maritime du gouvernement québécois vise une utilisation optimale et responsable du potentiel maritime québécois et comporte différentes mesures destinées à mettre en valeur le transport maritime, le tourisme et les ressources marines. Cette politique devrait engendrer des investissements de plusieurs milliards de dollars d’ici 2030 et entraîner la création de 30 000 emplois directs. Selon les prévisions gouvernementales, le plan d’action devrait engendrer des investissements de 2,9 G$ pour les cinq premières années.