Quand il annonce -30°C au Québec
Vous êtes-vous déjà levé un matin avec l'envie absolue de ne rien faire, encore moins de vous rendre au travail ? Dans une vidéo qui a récemment fait le tour des réseaux sociaux, Kate Moya incarne cette énergie avec un monologue aussi absurde qu'hilarant, adressé à une certaine Stéphanie. Résultat : une véritable masterclass de l’art de ne pas se présenter au bureau.
Tout commence par un appel téléphonique. Stéphanie, probablement une collègue ou une supérieure, tente tant bien que mal de comprendre pourquoi son interlocuteur ne se pointe pas au travail. Mais dès les premières secondes, on sait que ce n'est pas gagné.
Le ton est donné : « Stéphanie, tu me vois ? Moi, non plus, je ne me vois pas. » Avec cette réplique, Kate Moya nous plonge directement dans l'absurde. Ce n'est pas qu'une simple excuse, c'est une véritable ode à l'anti-productivité.
L’excuse avancée ? Il fait trop froid. Oui, Stéphanie, le climat n’encourage pas à jouer aux héros. Et soyons honnêtes : qui n’a jamais voulu appeler son boss avec une raison aussi farfelue ? Mais attention, Kate pousse l’argumentation encore plus loin. Ce n’est pas juste une question de température extérieure, c’est aussi une affaire existentielle. Elle ne « sent pas son cul », ni l’envie de venir travailler.
Un raisonnement limpide, non ?
Stéphanie, en bon soldat, est au bureau. Félicitations à elle, car elle « porte bien son titre de responsable ». Mais pourquoi, se demande Kate, se tuer à la tâche quand la paye ne suit pas ? « Moi, il me manque quelques zéros à côté de mon chèque pour devenir responsable. » Cette punchline, c'est un miroir tendu à tous ceux qui pensent que la motivation doit venir uniquement de l'intérieur. Spoiler : parfois, c'est aussi une question de salaire.
Alors, si jamais vous ne « sentez pas votre cul » un matin, pensez à Stéphanie. Peut-être qu’elle, au moins, croit encore en vous.
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